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Outils d’annotation des images

Avant de procéder à l’entrainement d’un modèle basé sur les réseaux de neurones (cas de détection, classification et segmentation), il est important d’annoter les objets afin de permettre au modèle de reconnaître les objets plus tard et faire la prédiction. Pour faciliter le travail d’annotation, plusieurs outils existent déjà en version gratuite et payante. Je vous présente ici une liste non exhaustive dans le cas de l’annotation des images.

 

  • labelImg : LabelImg est un outil d’annotation d’image graphique et des boîtes de délimitation d’objets d’étiquette dans les images
  • Roboflow . En plus de l’annotation, la plate-forme facilite la conversion entre les formats d’annotation et la gestion des ensembles de données, ainsi que la formation et le déploiement de modèles personnalisés sur des points de terminaison d’API privés
  • CVAT – Outil d’annotation de vision par ordinateur puissant et efficace
  • labelme – Annotation polygonale d’image avec Python
  • VoTT – Un outil d’annotation et d’étiquetage open source pour les images et les vidéos
  • imglab – Un outil basé sur le Web pour étiqueter les images des objets qui peuvent être utilisés pour former dlib ou d’autres détecteurs d’objets
  • Yolo_mark – GUI pour marquer des boîtes délimitées d’objets dans des images pour former le réseau de neurones Yolo v3 et v2
  • PixelAnnotationTool – Logiciel qui vous permet d’annoter manuellement et rapidement des images dans des répertoires
  • OpenLabeling – Étiquetez des images et des vidéos pour les applications de vision par ordinateur
  • imagetagger – Une plateforme en ligne open source pour l’étiquetage collaboratif d’images
  • Alturos.ImageAnnotation – Un outil collaboratif pour étiqueter les données d’image
  • deeplabel – Un outil d’annotation d’images multiplateforme pour l’apprentissage automatique
  • MedTagger – Un cadre collaboratif pour annoter des ensembles de données médicales à l’aide du crowdsourcing.

Pour avoir plus de détails et d’autres outils d’annotation pour (les videos, le texte, l’audio et autres ..etc…) aller sur https://github.com/heartexlabs/awesome-data-labeling

Augmentation des données ou data augmentation

 

Qu’est-ce que l’augmentation d’image?

Afin d’augmenter la performance des algorithmes basés sur les réseaux de neurones, on applique souvent les méthodes d’augmentation des données. Selon Wikipédia (https://en.wikipedia.org/wiki/Data_augmentation), l’augmentation des données dans l’analyse des données sont des techniques utilisées pour augmenter la quantité de données en ajoutant des copies légèrement modifiées de données déjà existantes ou de données synthétiques nouvellement créées à partir de données existantes. Pour ce qui concerne la détection d’objets, l’augmentation de données permet d’optimiser la performance et la robustesse des détections.

Les algorithmes basés sur les réseaux de neurones profonds nécessitent beaucoup de données d’entraînement pour obtenir de bons résultats et éviter le surajustement. Cependant, il est souvent très difficile d’obtenir suffisamment d’échantillons d’apprentissage.

L’augmentation d’image  peut être défini comme un processus de création de nouveaux exemples de formation à partir d’exemples existants.

Parmi les méthodes d’augmentation de données pour la détection des objets, il y a deux types  de transformation (Transformations au niveau du pixel et Transformations au niveau spatial)

  1. Transformations au niveau du pixel

Les transformations au niveau du pixel ne changeront qu’une image d’entrée et laisseront inchangées toutes les cibles supplémentaires telles que les masques, les cadres de délimitation et les points clés. Voici quelques transformations au niveau du pixel :

Pour avoir plus de détail voir (https://github.com/albumentations-team/albumentations)

On peut également modifier la luminosité de l’image. L’augmentation de la luminosité de l’image implique l’augmentation ou la diminution aléatoire d’une image, comme l’application d’un changement de pourcentage +/- uniforme à tous les pixels d’une image. On peut appliquer le changement de teinte en changeant l’espace colorimétrique( la couleur de l’image). L’augmentation de la teinte de l’image modifie de manière aléatoire les couleurs d’une image, rendant ainsi un modèle plus résistant aux couleurs spécifiques des objets.

  2.Transformations au niveau spatial

Les transformations au niveau spatial modifieront simultanément une image d’entrée ainsi que des cibles supplémentaires telles que des masques, des cadres de délimitation et des points clés. Voici quelques transformations au niveau spatial

La liste complète des transformations à appliquer sur les images pour augmenter les données  est accessible via leur documentation en ligne via ()le lien suivant.

 

Algorithmes de détection d’objets

Quels sont les algorithmes de détection d’objets par les réseaux de neurones?

En général, les détecteurs d’objets basés sur l’apprentissage en profondeur extraient des caractéristiques de l’image ou de l’image vidéo d’entrée. Un détecteur d’objets résout deux tâches successives :

  • Tâche n° 1 : trouver un nombre arbitraire d’objets (peut-être même zéro), et
  • Tâche n° 2 : classer chaque objet et estimer sa taille à l’aide d’un cadre de sélection.

En fonction de l’étude menée ou du résultat attendu, on peut utiliser des algorithmes qui combinent les deux tâches ( algorithmes à une étage) ou utiliser des algorithmes qui font séparément les tâches ( algorithmes à deux étages). Voyons plus en détails les deux types d’algorithmes, leurs avantages et inconvénients.  

  1. Méthodes  ou algorithmes à une étage: les détecteurs à une étape prédisent simultanément la probabilité de la classe de sortie et la position exacte de l’objet à détecter. Ils combinent les deux tâches en une seule ce qui fait que le processus prend moins de temps  ce qui fait que ces algorithmes sont les plus utilisés dans la détection en temps réel. Ces  détecteurs d’objets à un étage donnent la priorité à la vitesse d’inférence et sont super rapides mais pas moins bons (moins précis) pour reconnaître des objets de forme irrégulière ou un groupe de petits objets. Parmi les détecteurs à un étage les plus populaires on a:  YOLO,  SSD ,  RetinaNet, HOG etc….
  2. Méthodes ou algorithmes à deux étages: les détecteurs d’objets à deux étages utilisent d’abord le réseau de suggestion régional ( RPN) pour générer des boîtes à suggestions régionales approximatives puis utilisent  une tête de détection dédiée pour classer les objets dans l’image. En d’autre terme,  une proposition de région d’objet avec des méthodes conventionnelles de vision par ordinateur ou des réseaux profonds, suivie d’ une classification d’objet basée sur des caractéristiques extraites de la région proposée avec une régression de boîte englobante. Les méthodes en deux étapes ou étages permettent d’obtenir la précision de détection la plus élevée, mais sont généralement plus lentes. Les détecteurs d’objets à deux étages trouvent d’abord une région d’intérêt et utilisent cette région recadrée pour la classification. Parmi les détecteurs à deux étages ou étapes les plus populaires on a: R-CNN, Fast R-CNN, Faster R-CNN, Mask R-CNN etc…

Détection des objets

Détection des objets

Qu’est-ce que la détection d’objets ?

En vision par ordinateur ou computer vision,  la détection d’objets  est désignée par une méthode permettant de détecter la présence d’une instance ou d’une classe d’objets dans une image numérique[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tection_d’objet.

Selon la terminologie usuelle on peut distinguer la détection, de la localisation et de la reconnaissance d’objets :

  • détection (ou classification) : présence d’une instance de l’objet dans l’image
  • reconnaissance : identification d’une instance particulière (« déchets  », « le visage d’une personne »…)
  • localisation (ou parfois détection) : situation précise de l’instance (détectée ou reconnue) dans l’image (cadre englobant ou segmentation de la zone).

Il est important de noter que pour des entités visuelles localisées (objet, visage, personne…), la détection et la localisation se confondent souvent.

La détection d’une classe d’objets est généralement considérée comme un problème plus difficile que la reconnaissance d’une instance particulière, puisqu’il faut identifier les caractéristiques communes à la classe en faisant abstraction de la variété des différentes instances au sein de ladite classe.

Approche générale

La détection d’un objet dans une image se décompose souvent en trois étapes qui sont:

Les méthodes utilisées pour faire la détection d’objets sont subdivisées en deux grandes familles (les méthodes de seuillages d’images(1) ou les méthodes utilisant l’intelligence artificielle (2) le machine learning ou le deep learning), chacune a ses avantages et inconvénients que nous allons décrire plus bas. 

1- Technique ou méthode de seuillage d’images: ne nécessitent généralement pas de données historiques(données pour faire un entrainement) pour la formation et ne sont pas supervisées par nature. La méthode de seuillage choisie est appliquée directement sur l’image ce qui permet d’avoir une segmentation binaire( segmentation en deux classes) avec une des deux classes représentant l’objet à identifier ou à détecter.

  • Avantages: ces tâches ne nécessitent pas d’ images annotées , où les humains étiquettent les données manuellement (pour une formation supervisée).
  • Inconvénients : ces techniques sont limitées à plusieurs facteurs, tels que les scénarios complexes (sans arrière-plan unicolore), l’occlusion (objets partiellement masqués), l’éclairage et les ombres, et l’effet de fouillis. Ces techniques ne peuvent pas être appliquées sur des images avec plusieurs variations d’éclairage ou d’arrière-plan.

2-Les méthodes d’intelligence artificielle ( machine learning ou le deep learning): reposent généralement sur une formation supervisée . Les performances sont limitées par la puissance de calcul  des GPU en fonction de la machine utilisée et des données(images).

  • Avantages : La détection d’objets d’apprentissage en profondeur ou par les techniques de l’intelligence artificielle est beaucoup plus robuste à l’occlusion, aux scènes complexes et à l’éclairage difficile.
  • Inconvénients : une énorme quantité de données (dans notre  cas images) d’entraînement est nécessaire pour avoir une bonne performance. Pour ce qui de vitesse de du modèle entraîné, il faut une machine avec un bon processeur (GPU) et une mémoire Ram avec une capacité assez élevée et  le processus d’ annotation d’images est laborieux et coûteux. Toutefois, il faut noter qu’il existe déjà des ensemble de données( datasets existants) permettant de faciliter la tâche si l’objet ou les objets à détecter est déjà présent dans une des classes des datasets existants.

Espaces colorimétriques dans OpenCV | Python

Les espaces colorimétriques sont un moyen de représenter les canaux de couleur présents dans l’image qui donnent à l’image cette teinte particulière. Il existe plusieurs espaces de couleurs différents et chacun a sa propre signification.
Certains des espaces colorimétriques populaires sont RVB (rouge, vert, bleu), CMJN (cyan, magenta, jaune, noir), HSV (teinte, saturation, valeur), etc.

Espace colorimétrique BGR : l’espace colorimétrique par défaut d’OpenCV est RVB. Cependant, il stocke en fait la couleur au format BGR. C’est un modèle de couleur additive où les différentes intensités de bleu, vert et rouge donnent différentes nuances de couleur.

Espace colorimétrique HSV : Il stocke les informations de couleur dans une représentation cylindrique des points de couleur RVB. Il tente de représenter les couleurs telles qu’elles sont perçues par l’œil humain. La valeur de teinte varie de 0 à 179, la valeur de saturation varie de 0 à 255 et la valeur de valeur varie de 0 à 255. Il est principalement utilisé à des fins de segmentation des couleurs.

Espace colorimétrique CMJN : Contrairement au RVB, il s’agit d’un espace colorimétrique soustractif. Le modèle CMJN fonctionne en masquant partiellement ou entièrement les couleurs sur un fond plus clair, généralement blanc. L’encre réduit la lumière qui serait autrement réfléchie. Un tel modèle est dit soustractif car les encres « soustraient » les couleurs rouge, vert et bleu de la lumière blanche. Lumière blanche moins feuilles rouges cyan, lumière blanche moins feuilles vertes magenta et lumière blanche moins feuilles bleues jaunes.

  • YUV : Même si RVB est bon à de nombreuses fins, il a tendanceêtre très limité pour de nombreuses applications réelles. Les gens ont commencé à réfléchir à différentes méthodes pour séparer les informations d’intensité des informations de couleur. Par conséquent, ils ont créé l’espace colorimétrique YUV. Y fait référence à la luminance ou à l’intensité, et les canaux U/V représentent les informations de couleur. Cela fonctionne bien dans de nombreuses applications car le système visuel humain perçoit les informations d’intensité très différemment des informations de couleur.

Visualiser les différents canaux de couleur d’une image RVB:

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20matplotlib.pyplot%20as%20plt%0Afrom%20matplotlib.pyplot%20import%20*%0A%20%20%0Aimage%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fprofil.jpeg’)%0Aimage%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_BGR2RGB)%0AR%2C%20G%2C%20B%20%3D%20cv2.split(image)%0A%0Afigure(figsize%3D(9%2C6))%0Aplt.subplot(141)%2Cimshow(image)%2Cplt.title(‘Image%20originale’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(142)%2Cimshow(B)%2Cplt.title(‘Canal%20rouge’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(143)%2C%20imshow(G)%2C%20plt.title(‘Canal%20vert’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(144)%2Cimshow(R)%2Cplt.title(‘Canal%20bleu’)%0Aplt.axis(‘off’)” message=”Visualiser les différents canaux de couleur d’une image RVB.” highlight=”” provider=”manual”/]

Nous utilisons la fonction 

cvtColor

pour convertir entre les espaces colorimétriques. Le premier argument est l’image d’entrée et le deuxième argument spécifie la conversion de l’espace colorimétrique. Vous pouvez convertir en YUV en utilisant l’indicateur suivant :

 

image=cv2.cvtColor(image, cv2.COLOR_RGB2YUV)

Voici un exemple  de code permettant de changer l’espace colorimétrique:

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20matplotlib.pyplot%20as%20plt%0Afrom%20matplotlib.pyplot%20import%20*%0A%20%20%0Aimage%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fprofil.jpeg’)%0Aimage%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_BGR2RGB)%0Aimage1%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2GRAY)%0Aimage2%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2HSV)%0Aimage3%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2XYZ)%0Aimage4%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2YCrCb)%0Aimage5%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2YUV)%0Aimage6%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2Lab)%0Aimage7%3Dcv2.cvtColor(image%2C%20cv2.COLOR_RGB2LUV)%0Afigure(figsize%3D(10%2C8))%0Aplt.subplot(441)%2Cimshow(image)%2Cplt.title(‘Image%20originale’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(442)%2Cimshow(image1)%2Cplt.title(‘RGB%20vers%20GRAY’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(443)%2C%20imshow(image2)%2C%20plt.title(‘RGB%20vers%20HSV’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(444)%2Cimshow(image3)%2Cplt.title(‘RGB%20vers%20XYZ’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(445)%2Cimshow(image4)%2Cplt.title(‘RGB%20vers%20YCrCb’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(446)%2Cimshow(image5)%2Cplt.title(‘RGB%20vers%20YUV’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(447)%2C%20imshow(image6)%2C%20plt.title(‘RGB%20vers%20Lab’)%0Aplt.axis(‘off’)%0Aplt.subplot(448)%2Cimshow(image7)%2Cplt.title(‘RGB%20vers%20LUV’)%0Aplt.axis(‘off’)” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

 

Seuillage adaptatif ou Segmentation adaptative

L’utilisation d’une valeur de seuil globale peut ne pas être un bon choix lorsque l’image a des conditions d’éclairage différentes dans différentes zones. Donc, dans ce cas, nous pouvons vouloir utiliser le seuillage adaptatif. Il utilise l’algorithme qui calcule le seuil pour de petites régions de l’image afin d’

[pastacode lang=”python” manual=”cv2.AdaptiveThreshold(src%2C%20dst%2C%20maxValue%2C%20adaptive_method%3DCV_ADAPTIVE_THRESH_MEAN_C%2C%20thresholdType%3DCV_THRESH_BINARY%2C%20blockSize%3D3%2C%20param1%3D5)%20″ message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

obtenir différents seuils pour différentes régions de la même image et il nous donne de meilleurs résultats pour les images avec des conditions d’éclairage variables.

Les éléments  sont:

  1. src – Source image monocanal  8 bits ou image du premier canal en 8 bits.
  2. dst – Image de destination de la même taille et du même type que src.
  3. maxValue – Valeur non nulle attribuée aux pixels pour lesquels la condition est satisfaite.
  4. adaptiveMethod – Algorithme de seuillage adaptatif à utiliser, ADAPTIVE_THRESH_MEAN_C (la valeur seuil est la moyenne de la zone de voisinage) ou ADAPTIVE_THRESH_GAUSSIAN_C (la valeur seuil est la somme pondérée des valeurs de voisinage où les pondérations sont une fenêtre gaussienne). adaptiveMethod décide comment la valeur de seuil est calculée.
  5. thresholdType – le type seuillage qui doit être soit THRESH_BINARY ou THRESH_BINARY_INV.
  6. blockSize – taille d’un voisinage de pixels qui est utilisé pour calculer une valeur de seuil pour le pixel : 3, 5, 7, et ainsi de suite.
  7. C – Constante soustraite de la moyenne ou moyenne pondérée. Normalement, il est positif mais peut également être nul ou négatif. C’est juste une constante qui est soustraite de la moyenne ou moyenne pondérée calculée.

Voici le code  d’un exemple du seuillage adaptatif :

[pastacode lang=”python” manual=”%23%20Importer%20les%20modules%20%0Aimport%20cv2%0Aimport%20numpy%20as%20np%0Afrom%20matplotlib%20import%20pyplot%20as%20plt%0Afrom%20matplotlib.pyplot%20import%20*%0A%0Aimg%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FClassification%2FComputational%20Imaging%2Fmoi.jpg’%2C0)%0Aimg%20%3D%20cv2.medianBlur(img%2C5)%0A%0Aret%2Cth1%20%3D%20cv2.threshold(img%2C150%2C255%2Ccv2.THRESH_BINARY)%20%23%20binarisation%20%0Ath2%20%3D%20cv2.adaptiveThreshold(img%2C255%2Ccv2.ADAPTIVE_THRESH_MEAN_C%2C%5C%0A%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.THRESH_BINARY%2C15%2C2)%0Ath3%20%3D%20cv2.adaptiveThreshold(img%2C255%2Ccv2.ADAPTIVE_THRESH_GAUSSIAN_C%2C%5C%0A%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.THRESH_BINARY%2C15%2C2)%0A%0Atitles%20%3D%20%5B’%20Image%20original’%2C%20’Seuillage%20global%20(v%20%3D%20150)’%2C%0A%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20’Seuillage%20moyen%20adaptatif’%2C%20’Seuillage%20gaussien%20adaptatif’%5D%0Aimages%20%3D%20%5Bimg%2C%20th1%2C%20th2%2C%20th3%5D%0A%0Afor%20i%20in%20range(4)%3A%0A%20%20%20%0A%20%20%20%20plt.subplot(2%2C2%2Ci%2B1)%2Cplt.imshow(images%5Bi%5D%2C’gray’)%0A%20%20%20%20plt.title(titles%5Bi%5D)%0A%20%20%20%20plt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%0Aplt.show()” message=”Seuillage adaptatif ” highlight=”” provider=”manual”/]

Histogramme des images avec python

Histogramme des images avec python

Alors qu’est-ce que l’histogramme  d’une image? On  peut considérer l’histogramme comme un graphique ou un tracé, ce qui vous donne une idée globale de la distribution d’intensité d’une image. Il s’agit d’un graphique avec des valeurs de pixels (allant de 0 à 255, pas toujours) sur l’axe X et le nombre correspondant de pixels dans l’image sur l’axe Y.

Cette représentation permet de de comprendre l’image. En regardant l’histogramme d’une image, on peut obtenir  une intuition sur le contraste, la luminosité, la distribution d’intensité, etc. de cette image.

À partir de l’histogramme, on peut  voir que la région sombre , la région plus claire, et la  valeurs  du nombre de pixels à un point donné, par exemple à 127.

Calcul d’histogramme en utilisant opencv-python

Vous allons  utiliser la fonction cv2.calcHist() pour trouver l’histogramme de l’image .

On va calculer l’histogramme avec la formule suivante:

cv2.calcHist(images, canaux, masque, histSize, plages[, hist[, accumuler]])

  1. images : c’est l’image source
  2. canaux : il est également indiqué entre crochets. C’est l’indice du canal pour lequel on calcule l’histogramme. Par exemple, si l’entrée est une image en niveaux de gris, sa valeur est [0]. Pour l’image couleur, vous pouvez passer [0],[1] ou [2] pour calculer l’histogramme du canal bleu, vert ou rouge respectivement.
  3. masque : image de masque. Pour trouver l’histogramme de l’image complète, il est donné comme “Aucun”. Mais si vous voulez trouver l’histogramme d’une région particulière de l’image, vous devez créer une image de masque pour cela et la donner comme masque. (Je montrerai un exemple plus tard.)
  4. histSize : cela représente notre nombre de BIN. Doit être indiqué entre crochets. Pour la pleine échelle, nous passons [256].
  5. gammes : c’est notre GAMME. Normalement, c’est [0,256].

Dans notre exemple, nous allons voir comment tracer l’histogramme d’une image sans séparer chaque canal et ensuite comme tracer séparément l’histogramme de chaque canal d’une image couleur(RGB par exemple).

Cas de l’histogramme d’une image couleur ou en niveau de gris

[pastacode lang=”python” manual=”import%20numpy%20as%20np%0Aimport%20cv2%0Afrom%20matplotlib%20import%20pyplot%20as%20plt%0A%0Aimg%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’)%0Aplt.hist(img.ravel()%2C256%2C%5B0%2C256%5D)%3B%20plt.show()” message=” Calcul d’histogramme dans OpenCV” highlight=”” provider=”manual”/]

Cas de l’histogramme d’une image couleur(RGB) avec séparation de chaque canal

[pastacode lang=”python” manual=”%23%20calcule%20de%20l’histogramme%20par%20Opencv%20sur%20chaque%20canal%0Aimport%20cv2%0Aimport%20numpy%20as%20np%0Afrom%20matplotlib%20import%20pyplot%20as%20plt%0A%0Aimg%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’%2C0)%0Aimg1%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’%2C1)%0Aimg2%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’%2C2)%0Aplt.subplot(131)%2Cplt.hist(img.ravel()%2C256%2C%5B0%2C256%5D)%2Cplt.title(‘Bleue’)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%0Aplt.subplot(132)%2Cplt.hist(img1.ravel()%2C256%2C%5B0%2C256%5D)%2Cplt.title(‘vert’)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%0Aplt.subplot(133)%2Cplt.hist(img.ravel()%2C256%2C%5B0%2C256%5D)%2Cplt.title(‘Rouge’)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%0A%0Aplt.show()” message=”Histogramme avec chaque canal” highlight=”” provider=”manual”/]

ou

[pastacode lang=”python” manual=”import%20numpy%20as%20np%0Aimport%20cv2%0Afrom%20matplotlib%20import%20pyplot%20as%20plt%0A%0Aimg%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’)%0Aimg%3D%20%20cv2.cvtColor(img%2Ccv2.COLOR_BGR2RGB)%0A%0Acolor%20%3D%20(‘r’%2C’g’%2C’b’)%0Afor%20i%2Ccol%20in%20enumerate(color)%3A%0A%20%20%20%20histr%20%3D%20cv2.calcHist(%5Bimg%5D%2C%5Bi%5D%2CNone%2C%5B256%5D%2C%5B0%2C256%5D)%0A%20%20%20%20plt.plot(histr%2Ccolor%20%3D%20col)%0A%20%20%20%20plt.xlim(%5B0%2C256%5D)%2Cplt.legend(color)%2Cplt.title(‘Histogramme%20des%20canaux%20R%2C%20G%20B’)%0Aplt.show()%0A” message=”” highlight=”” provider=”manual”/]

Seuillage ou Segmentation d’image avec Opencv-python

Seuillage  ou Segmentation d’image avec Opencv-python

Le seuillage d’image  consiste à remplacer un à un les pixels d’une image à l’aide d’une valeur seuil fixée (par exemple 127). Ainsi, si un pixel à une valeur supérieure au seuil (par exemple 190), il prendra la valeur 255 (blanc), et si sa valeur est inférieure (par exemple 100), il prendra la valeur 0 (noir). On peut dire également que c’est une technique , qui consiste à affecter les valeurs des pixels en fonction de la valeur seuil fournie. Dans le seuillage, chaque valeur de pixel est comparée à la valeur seuil. … Cette technique de seuillage est réalisée sur des images en niveaux de gris.

La valeur du seuil est fixée arbitrairement.

On va donc essayer de voir quelques méthodes de seuillage :

Méthode d’Otsu

La méthode d’Otsu est utilisée pour effectuer un seuillage automatique à partir de la forme de l’histogramme de l’image1, ou la réduction d’une image à niveaux de gris en une image binaire. L’algorithme suppose alors que l’image à binariser ne contient que deux classes de pixels, (c’est-à-dire le premier plan et l’arrière-plan) puis calcule le seuil optimal qui sépare ces deux classes afin que leur variance intra-classe soit minimale2  

threshold est utilisé pour appliquer le seuillage. Le premier argument est l’image source, qui doit être une image en niveaux de gris. Le deuxième argument est la valeur de seuil qui est utilisée pour classer les valeurs de pixel. Le troisième argument est la valeur maximale qui est attribuée aux valeurs de pixels dépassant le seuil.

En termes simples,  le seuillage d’Otsu calcule automatiquement une valeur seuil à partir de l’histogramme d’image pour une image bimodale. (Pour les images qui ne sont pas bimodales, la binarisation ne sera pas précise.)

Image originale:

Voici un exemple de code python :

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20matplotlib.pyplot%20as%20plt%0Afrom%20matplotlib.pyplot%20import%20*%0Aima%3Dcv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-01-50-11_.tif’%2Ccv2.COLOR_BGR2RGB)%0A%0Agray%3Dcv2.cvtColor(ima%2C%20cv2.COLOR_BGR2GRAY)%20%23%20convertir%20l’image%20en%20niveau%20de%20gris%0A%0Aret%2C%20thresh_img1%20%3D%20cv2.threshold(gray%2C%20220%2C%20255%2C%20cv2.THRESH_OTSU)%20%23%20seuil%20220-255%0Aret%2C%20thresh_img%20%3D%20cv2.threshold(ima%2C%20127%2C%20255%2C%20cv2.THRESH_BINARY)%20%23%20Seuil%20127-255%0Afigure(figsize%3D(10%2C6))%0Aplt.subplot(331)%2Cimshow(ima)%2C%20plt.title(‘Image%20originale’)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2C%20plt.yticks(%5B%5D)%0Aplt.subplot(332)%2Cimshow(thresh_img1)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%2C%20plt.title(‘Radicule%20segment%C3%A9e_220_255’)%0Aplt.subplot(333)%2Cimshow(thresh_img)%2Cplt.title(‘Image%20binaris%C3%A9e’)%0Aplt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)” message=”Binarisation d’Otsu ou le seuillage d’Otsu” highlight=”” provider=”manual”/]

Seuillage simple ou Segmentation simple

 

Si la valeur du pixel est supérieure à une valeur seuil, une valeur lui est attribuée (peut être blanche), sinon une autre valeur lui est attribuée (peut être noire). La fonction utilisée est cv2.threshold. Le premier argument est l’image source, qui doit être une image en niveaux de gris . Le deuxième argument est la valeur seuil qui est utilisée pour classer les valeurs de pixels. Le troisième argument est la valeur maximale qui représente la valeur à donner si la valeur du pixel est supérieure (parfois inférieure) à la valeur seuil.

OpenCV fournit différents styles de seuillage et il est décidé par le quatrième paramètre de la fonction. Les différents types sont :

  • cv2.THRESH_BINARY
  • cv2.THRESH_BINARY_INV
  • cv2.THRESH_TRUNC
  • cv2.THRESH_TOZERO
  • cv2.THRESH_TOZERO_INV

Voici un code python pour montrer comment on peut appliquer les différents types de seuillage.

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20numpy%20as%20np%0Afrom%20matplotlib%20import%20pyplot%20as%20plt%0A%0Aimg%20%3D%20cv2.imread(‘%2Fcontent%2Fdrive%2FMyDrive%2FSerie1%2FTournesol_H_noir_IMX145_05-06-2021-03-50-13_.tif’%2C0)%0Aret%2Cthresh1%20%3D%20cv2.threshold(img%2C127%2C255%2Ccv2.THRESH_BINARY)%0Aret%2Cthresh2%20%3D%20cv2.threshold(img%2C127%2C255%2Ccv2.THRESH_BINARY_INV)%0Aret%2Cthresh3%20%3D%20cv2.threshold(img%2C127%2C255%2Ccv2.THRESH_TRUNC)%0Aret%2Cthresh4%20%3D%20cv2.threshold(img%2C127%2C255%2Ccv2.THRESH_TOZERO)%0Aret%2Cthresh5%20%3D%20cv2.threshold(img%2C127%2C255%2Ccv2.THRESH_TOZERO_INV)%0A%0Atitles%20%3D%20%5B’Original%20Image’%2C’BINARY’%2C’BINARY_INV’%2C’TRUNC’%2C’TOZERO’%2C’TOZERO_INV’%5D%0Aimages%20%3D%20%5Bimg%2C%20thresh1%2C%20thresh2%2C%20thresh3%2C%20thresh4%2C%20thresh5%5D%0A%0Afor%20i%20in%20range(6)%3A%0A%20%20%20%20plt.subplot(2%2C3%2Ci%2B1)%2Cplt.imshow(images%5Bi%5D%2C’gray’)%0A%20%20%20%20plt.title(titles%5Bi%5D)%0A%20%20%20%20plt.xticks(%5B%5D)%2Cplt.yticks(%5B%5D)%0A%0Aplt.show()” message=”Seuillage simple ou Segmentation simple avec python” highlight=”” provider=”manual”/]

Lecture et sauvegarde des images usb camera dans un repertoire

Lecture  et sauvegarde des images usb camera  dans un repertoire

Comment sauvegarder les images dans un répertoire spécifique?

Dans ce article, on va apprendre rapidement comment on peut enregistrer  les images acquises à partir des USB caméras dans un répertoire spécifique et avec un intervalle de temps d’acquisition précis en utilisant Opencv , time et OS.

 

On peut utiliser le système sur un raspberry pi pour faire des images ou superviser quelque chose soit avec un ordinateur.

Comme nous allons utiliser python, on aura besoin d’importer quelques librairies avant d’écrire notre code pour la capture et le sauvegarde des images.

Quelles libraires  importées?

On va importer trois librairies  qui sont:

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20os.path%20%20%23%20ou%20import%20os%0Aimport%20time%0A” message=”Librairies à importer” highlight=”” provider=”manual”/]

La librairie cv2 va nous aider à lire notre caméra et à sauvegarder  les images , os.path  va nous permettre d’avoir accès au système surtout au dossiers ou fichiers ou répertoire et enfin  time va nous permettre de gérer le temps et de nommer nos images avec le temps ou la date.

 

Après avoir importé nos librairies, on va maintenant initialiser la caméra si c’est une seule caméra ou les caméras.

On l’initialise avec la commande suivante:

[pastacode lang=”python” manual=”camera1%20%3D%20cv2.VideoCapture(0)” message=”Initialisation de la caméra” highlight=”” provider=”manual”/]

Ensuite on vérifie si la caméra est bien initialisée si oui on la lit avec la commande:

[pastacode lang=”python” manual=”while%20True%3A%0A%20%20%20%20ret1%2C%20frame1%20%3D%20camera1.read()” message=”Vérification et lecture de la caméra” highlight=”” provider=”manual”/]

On  déclare le répertoire dans lequel on veut enregistrer les images et l’intervalle de temps au bout duquel on veut capturer une image avec les commandes suivantes:

[pastacode lang=”python” manual=”%23%20declaration%20du%20r%C3%A9pertoire%20%0Apath1%20%3D%22.%2FBureau%2FImagetest%2FCamera1%22%0A%0A%23%20d%C3%A9claration%20du%20timelapse%0Atime.sleep(60)” message=”Déclaration du répertoire et du timelapse” highlight=”” provider=”manual”/]

La ligne path1 =“./Bureau/Imagetest/Camera1” représente le  chemin du répertoire et la ligne sleep(60) représente le timelapse , la durée pour acquérir une image.

Enfin si la caméra est bien lue,on procède à la visualisation et sauvegarde des images avec les commandes suivantes:

[pastacode lang=”python” manual=”%20if%20ret1%3A%0A%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.imshow(%22camera1%22%2C%20frame1)%0A%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.imwrite(os.path.join(path1%2C%20%22image1_%22%20%2B%20time.strftime(%22%25d-%25m-%25Y-%25H-%25M-%25S_%22)%20%20%2B%20%22.tif%22)%2Cframe1)” message=”Verification de lecture de la caméra et sauvegarde des images” highlight=”” provider=”manual”/]

Important: Quand on déclare un dossier sous linux, il faut mettre un point avant le chemin du répertoire mais sur windows et raspberry pi c’est raspbian on n’a pas besoin du point avant le chemin du répertoire.

Voici le code complet pour lancer la caméra et sauvegarder les images dans un répertoire spécifique en utilisant un python code python (opencv pour capture).

[pastacode lang=”python” manual=”import%20cv2%0Aimport%20time%2Cos.path%0Afrom%20time%20import%20sleep%0Aimport%20os%0A%23%20initialiser%20les%20cam%C3%A9ras%0Acamera1%20%3D%20cv2.VideoCapture(0)%0A%0Acamera2%20%3D%20cv2.VideoCapture(2)%0A%0Awhile%20True%3A%0A%20%20%20%20ret1%2C%20frame1%20%3D%20camera1.read()%0A%20%20%20%20ret2%2C%20frame2%20%3D%20camera2.read()%0A%20%20%20%20%0A%20%20%20%20%23%20D%C3%A9claration%20du%20chemin%20des%20r%C3%A9pertoires%0A%20%20%20%20path1%20%3D%22.%2FBureau%2FImagetest%2FCamera1%22%0A%20%20%20%20path2%20%3D%22.%2FBureau%2FImagetest%2FCamera2%22%0A%0A%20%20%20%23%20D%C3%A9claration%20du%20timelapse%0A%20%20%20sleep(60)%0A%0A%20%20%20if%20ret1%3A%0A%20%20%20%20%20%20%20%23%20cv2.imshow(%22camera1%22%2C%20frame1)%0A%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.imwrite(os.path.join(path1%2C%20%22image1_%22%20%2B%20time.strftime(%22%25d-%25m-%25Y-%25H-%25M-%25S_%22)%20%20%2B%20%22.tif%22)%2Cframe1)%0A%20%20%20%20%20%20%20%0A%20%20%20%20if%20ret2%3A%0A%20%20%20%20%20%20%20%23%20cv2.imshow(%22camera2%22%2C%20frame2)%0A%20%20%20%20%20%20%20%20cv2.imwrite(os.path.join(path2%2C%20%22image2_%22%20%2B%20time.strftime(%22%25d-%25m-%25Y-%25H-%25M-%25S_%22)%20%20%2B%20%22.tif%22)%2Cframe2)%0A%20%20%20%20%20%20%20%20camera2.set(cv2.CAP_PROP_FRAME_WIDTH%2C%201920)%0A%20%20%20%20%20%20%20%20camera2.set(cv2.CAP_PROP_FRAME_HEIGHT%2C%201080)%0A%20%20%20%0A%20%20%20%20%20if%20cv2.waitKey(1)%20%26%200xff%20%3D%3Dord(‘a’)%3A%0A%20%20%20%20%20%0A%20%20%20%20%20%20%20%20%20%20break%0A%0Acamera1.release()%0Acamera2.release()%0Acv2.destroyAllWindows()%0A%0A” message=”Code complet” highlight=”” provider=”manual”/]

Ce code permet de lancer deux caméras directement soit sur un raspberry pi ou un pc (linux , windows ou macox) en banchant les deux caméras à deux ports USB, enregistrer les images acquises de chaque caméra dans un répertoire différent suivant le même intervalle de temps ici 60 secondes soit 1 minuit pour chaque image.

J’espère que ce article vous a aidé.

A lire aussi (Installer un raspberry pi)

 

Contrôler son Raspberry Pi à distance avec VNC

Contrôler  son Raspberry Pi  à distance avec VNC

Le contrôle à distance du  Raspberry Pi depuis un autre ordinateur est particulièrement intéressant dans certaines situations ou utilisations particulières, par exemple si on ne souhaite pas l’utiliser comme un “simple” nano-ordinateur, mais plutôt comme un objet connecté avec des fonctions spécifiques comme dans notre cas.Deux moyens sont à notre disposition pour cette prise de contrôle à distance :

  1. via SSH, uniquement en ligne de commande dans un terminal (le plus «rapide» et efficace
    dans certains cas, et quand on est un utilisateur assez avancé ou quand on maîtrise les lignes de commande)
  2. via VNC, avec une interface graphique complète habituelle et prise en charge du
    clavier et de la souris et autres.

Dans ce article, je vais vous montrer comment contrôler votre raspberry pi depuis un autre ordinateur via le VNC

 

Pour contrôler le raspberry pi via le VNC, on a besoin  de deux choses essentiels qui sont le VNC server et le VNC Viewer.

Le VNC server ou le serveur VNC est  le VNC qu’on doit activer  sur le raspberry pi qu’on veut contrôler et le VNC viewer est le VNC qu’on va installer sur l’ordinateur, la tablette ou le portable qu’on va utiliser pour contrôler le raspberry.

Comment installer VNC sur Raspberry Pi ?

Pour activer le VNC sur son raspberry pi on a deux méthodes:

  • Depuis l’option configuration du raspberry pi
  • Depuis le terminal

 

Depuis l’option configuration du raspberry pi: Quand on clique sur le logo du raspberry on choisit Préférence suivi  de Configuration de la Raspberry pi ensuite interfaces enfin activé devant le VNC et on valide pour redémarrer le raspberry pi.

Depuis le terminal:  On ouvre le terminal  et on tape la commande sudo raspi-config, une fois ouvert on choisit l’option Interfaces Options ensuite VNC enfin sur OUI ou YES pour valider et redémarrer le raspberry pi.

ensuite

enfin

 

Une fois que le vnc server activé il faut le configurer pour pour accéder à distance.

La première est de cliquer sur le logo de VNC ensuite vous avez connectivité si votre raspberry est connecté à l’internet vous aurez son adresse IP par exemple le mien est 192.168.1.84 ensuite vous allez dans le menu du VNC server qui vient d’être activer sur votre raspberry pi et cliquez sur Options. Une fois que la page de l’options est ouverte, vous avez la possiblité de choisir ce que vous voulez contrôler à distance dans connexions enfin dans la partie authentification vous choisissez le Mot de passe VNC et vous configurez le mot de passe que vous voulez utilisez pour accéder au raspberry via un autre appareil, une fois fini vous cliquez sur Appliquer et OK.

ensuite

On vient de finir  la partie VNC server sur notre raspberry pi. Il reste à installer le VNC viewer sur notre appareil soit ordinateur, portable ou tablette pour contrôler le raspberry pi sur lequel on vient d’activer le VNC server.

 

Il faut donc télécharger le logiciel VNC viewer (ici).

Ensuite on ouvre notre VNC viewer en tapant l’adresse IP de notre raspberry pi suivi du mot de passe qu’avait défini dans la configuration du vnc server et on aura accès à notre raspberry pi suivant le type de connexions qu’avait choisi.

Voir aussi (Comment utiliser caméra USB sur raspberry pi)

NB: On ne peut contrôler le raspberry pi depuis un autre appareil seulement si on est sur le meme réseau ou si on accède au réseau du raspberry pi par un VPN du réseau auquel le raspberry pi est connecté.


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